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Maya Andersson

.« J’ai vécu mon enfance et adolescence à Vevey, une petite ville des bords du lac Léman, en Suisse. Mon père était ébéniste, descendant d’une génération d’ébénistes. [...] Il aimait peindre en amateur et les dimanches de pluie nous installions une “nature morte” ou un “bouquet” sur une table et je peignais à ses côtés.

 

Quand il faisait beau, nous allions dans la campagne où il installait son chevalet pour peindre des paysages “sur le sujet” comme il disait. Devant l’immensité que représentait pour moi ce “sujet”, ne sachant comment choisir ce que je voulais peindre sur mon petit tableau, je copiais ce que faisait mon père.

 

C’est comme ça que j’ai appris à peindre. » 

Maya Andersson 

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